Piano solo
Au travers du cerceau pour piano (2011)
3 x 70 pour piano (2013)
Musique de chambre avec piano(s)
PLP pour lupophone et deux pianos (2003)
Moving pour musette, alto et piano (2006)
Flex I - III pour violon et piano (2010)
6 à 12 instruments
A propos du concert de la semaine dernière pour piano et 7 instruments (2015)
Années 2000
PLP pour lupophone et deux pianos (2003)
Moving pour musette, alto et piano (2006)
Années 2010
Flex I - III pour violon et piano (2010)
Au travers du cerceau pour piano (2011)
3 x 70 pour piano (2013)
A propos du concert de la semaine dernière pour piano et 7 instruments (2015)
Moins de 5 minutes
Flex I - III pour violon et piano (2010)
Au travers du cerceau pour piano (2011)
3 x 70 pour piano (2013)
5 à 10 minutes
Moving pour musette, alto et piano (2006)
10 à 20 minutes
A propos du concert de la semaine dernière pour piano et 7 instruments (2015)
PLP pour lupophone et deux pianos (2003)
Samuel Andreyev (1981-)
PLP
pour lupophone et deux pianos
Date de composition : 2003
Durée : 12'
Création : Pays-Bas, Amsterdam, 15 mars 2011, Martin Bliggenstorfer, lupophone; Wakana Shimizu et Takashi Mizumoto, pianos
Fiche + partition (Centre de musique canadienne)
"De conception utopiste, PLP n'a été créée que 8 ans après sa composition. L'idée initiale pour la pièce m’est venue d'un seul coup : un lupophone (sorte de hautbois baryton) se trouve piegé entre deux pianos virtuoses, voire hyperactifs. Pendant que le lupophone tisse ses lignes mélodiques plaintives et ornées, les figures proposées par les pianos s'inscrivent dans un continuum épais et régulier de double-croches, lequel est ponctué de temps en temps par des accords joués fortissimo. Cette situation tout à fait inégalitaire atteint son apothéose dans une folle cadence des deux pianos. Le lupophone, se trouvant alors éjecté du discours, se tait.
La deuxième partie de la pièce tente une réconciliation: bien que les figures jouées soient aussi angulaire que jamais, les trois instruments partagent un même réseau harmonique. l'Harmonie, alors devenu relativement statique, s'anime à travers des explorations de résonance ou de timbre. Or, une quelconque stabilité n'est nulle part en évidence : juste avant la fin, la pièce dévie brusquement sur une direction toute autre…" (Samuel Andreyev)
Note : Cette pièce existe aussi sous le nom de "PHP" dans une version pour heckelphone et deux pianos
Page actualisée le 15/05/2016